Au coin d’un bois, dans la plaine sud, pas très loin du village, sur le chemin qui part de la Croix Blanche vers la forêt, j’ai eu l’occasion de croiser au cours d’une matinée très ensoleillée du mois de Mai une découverte scandaleuse : au pied des arbres, quelqu’un avait déversé son tas d’ordures de chantier ! J’y ai trouvé pêle-mêle des restes de placo, de briques rouges et de carrelage (a priori de salle de bains) ; et même un tube usagé en plastique ayant contenu du joint de silicone.
Comment l’homme peut-il encore aujourd’hui être aussi … bête pour ne rien comprendre à la protection de notre (de son) environnement ?
Christophe FEVRE